Archives mensuelles : février 2015

Initiez vos enfants aux bienfaits de l’Ayurvéda

 

Source : Phtography for beginners

L’Ayurvéda apporte de la joie (Source : Phtography for beginners)

Le plus beau cadeau que vous puissiez faire à vos enfants, c’est de les initier à l’Ayurvéda. Cette connaissance les accompagnera tout au long de leur vie et leur apportera plus de santé, de joie et de plénitude. Dans les familles indiennes qui pratiquent l’Ayurvéda, les enfants sont élevés et initiés très tôt dans cette tradition. Les parents connaissent vite la constitution de naissance de leur enfant, prakriti en sanscrit, ce qui leur permet de donner des conseils avisés selon que l’enfant est de constitution Vata, Pitta-Vata ou Kapha. Connaitre la prakriti d’un enfant permet aux parents de mieux comprendre ses réactions et de l’aider à exceller dans ce pourquoi il est doué. C’est le cas par exemple au moment du choix d’une activité sportive. Plus d’un enfant sur deux connaît ses premiers échecs à l’école, parfois jusqu’à l’humiliation, à cause d’une activité sportive inappropriée. Un enfant de constitution Kapha ne sera pas à sa place dans les postes avant d’une équipe de football car ils nécessitent rapidité et combativité. Il n’excellera pas non plus dans les sports de vitesse. Signe révélateur, les enfants qui veulent être dispensés d’EPS[1] pour de telles raisons sont légion. L’Ayurvéda permet de remédier à cela. Son but ultime est de faire de la prévention personnalisée en termes de santé. Initier un enfant à cette connaissance est donc un inestimable cadeau.

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Ce que dit l’Ayurvéda au sujet des carences en vitamine D !

 

La carence en vitamine D doit être prise au sérieux

La carence en vitamine D doit être prise au sérieux

C’est un fait : nous sommes tous concernés par le manque de vitamine D. Plus de huit français sur dix Français ont moins de 30 ng/ml (nanogramme de vitamine D par millilitre de sang) alors que la « normale » est de 50 ng/ml ! Un français sur deux aurait même moins de 20 ng/ml ! En dessous de ce seuil, le manque est considéré comme sévère. Ce mal, puisqu’il faut bien l’appeler ainsi, n’est pas que français. Il touche la plupart des pays industrialisés. Ainsi, aux Etats-Unis, 87% de la population manquerait de vitamine D au plein cœur de l’hiver. Les populations de l’hémisphère nord atteignent leur taux le plus bas en vitamine D en février, soit après cinq mois de faible ensoleillement. Bien sûr, l’ensoleillement n’est pas le seul facteur en cause. L’âge influe également puisqu’il est admis que les personnes âgées synthétisent quatre fois moins de vitamine D que les jeunes. Une personne âgée sortant peu sera donc plus carencée qu’un enfant peu exposé au soleil. La science moderne reconnaît que la vitamine D influe sur l’humeur, l’immunité[1], la prolifération cellulaire, la pression artérielle, le métabolisme du calcium[2], le métabolisme du glucose, le confort de l’appareil locomoteur, le système cardiovasculaire et sans oublier la peau. Son manque occasionne les maladies suivantes : grippe, dépression, fracture, cancer[3], diabète[4], maladie de Parkinson[5], voire décès précoce. Voilà pourquoi les médecins prescrivent à tour de bras des ampoules de vitamine D contenant des doses massives (100.000 à 200.000 Unités Internationales). Leur but est de faire disparaître au plus vite les symptômes de carence. Le patient prend à deux reprises l’équivalent d’un mois de soleil en quelques minutes, situation que l’organisme a du mal à gérer, qu’il s’agisse de stocker ou d’utiliser cette vitamine D.

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Méditez régulièrement afin de vivre plus longtemps

Méditer permet de vivre plus longtemps

Méditer permet de vivre plus longtemps

Pour aussi simpliste qu’elle puisse paraître, la formule « stress=maladie=vie plus courte » est validée dans ses moindres détails par les recherches scientifiques les plus récentes. Son corollaire, « méditation=santé=vie plus longue » l’est tout autant. Rien d’étonnant à cela quand on sait que la méditation est la plus efficace des techniques antistress, même si les ambitions des techniques de méditation de la tradition bouddhiste ou de la tradition védique vont bien au-delà de la simple gestion du stress. Nous avons déjà évoqué dans ces colonnes le rôle fondamental de la méditation dans le développement de la santé physique et mentale (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/meditez-il-ny-a-rien-de-mieux-pour-votre-sante-physique-et-mentale/). Rappelons que l’Ayurvéda considère la conscience comme le fondement ultime de la santé. Le développement des états de conscience supérieurs grâce à la pratique d’une technique de méditation est aussi la voie royale pour développer la longévité. Vivre plus longtemps et en bonne santé, voilà ce que promet la pratique régulière d’une technique de méditation. Les premières études conduites au début des années 70 par le Dr. Robert Keith Wallace sur les effets de la méditation ont montré que les personnes qui pratiquaient la technique de méditation transcendantale étaient biologiquement plus jeunes ! Par rapport à un groupe témoin, elles avaient une meilleure vision, une meilleure tension artérielle ainsi qu’une meilleure audition. Celles qui avaient médité moins de cinq ans étaient cinq ans plus jeunes que leur âge réel alors que celles qui avaient médité plus de cinq ans étaient douze ans plus jeunes que leur âge réel[1].

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Ce que dit l’Ayurvéda Maharishi au sujet du cannabis  

 

Une substance récréative?

Une substance récréative? (Crédit : Lise Gauthier)

Substance récréative pour les uns, drogue thérapeutique pour les autres, le cannabis[1] suscite un énorme engouement dans nos sociétés où, en à peine quelques années, il a pris une place prépondérante alors que sa consommation est toujours illégale dans la plupart des pays occidentaux. Légaliser sa consommation comme celle du tabac ou de l’alcool ? Autoriser sous contrôle médical son usage thérapeutique dans les hôpitaux? Quels sont les effets à court et à long terme sur le consommateur occasionnel ? Qu’en est-il alors du consommateur régulier ? Des jeunes ? Alors que la classe politique reste largement divisée sur toutes ces questions, beaucoup de parents s’interrogent sur la position à adopter car il est question de la santé de leurs enfants. Bien triste record, les Français seraient à l’âge de 16 ans les premiers consommateurs de cannabis en Europe. Les jeunes sont confrontés au cannabis alors qu’ils fréquentent encore le collège ou le lycée. Le phénomène a pris de l’ampleur. Aujourd’hui, il représente 80% de la consommation de l’ensemble des drogues. On estime entre quatre et cinq millions le nombre de consommateurs dans l’hexagone. Plus d’un million seraient de consommateurs réguliers. Les jeunes adultes, de 15 et 34 ans, sont particulièrement concernés.

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