Protéger son cœur n’est pas un luxe dans nos sociétés modernes. Selon l’OMS, les maladies du système cardiovasculaire représentent la première cause de mortalité dans le monde avec 17,3 millions de décès par an[1]. Elles touchent autant les hommes que les femmes. Les plus courantes sont l’infarctus et l’AVC[2]. En France, on dénombre chaque année 120 000 infarctus et 130.000 AVC. Statistique révélatrice : le maximum d’infarctus intervient le lundi matin autour de 9 heures, confirmation du lien subtil avec le stress de l’activité professionnelle. La conscience joue un rôle clé dans ces maladies qui ont pourtant l’apparence de maladies « physiques » ! Une étude publiée en 2004 dans The Lancet, conduite dans 52 pays, a identifié neuf facteurs de risques couvrant 90 % des cas de maladies cardiaques. Aujourd’hui, il est communément admis que ces facteurs sont le tabac, la surconsommation d’alcool, la mauvaise alimentation, l’obésité, le manque d’activité physique, l’hypertension artérielle, le diabète, l’hyperlipidémie (cholestérol) et le stress professionnel. 9,4 millions de décès sont attribués à l’hypertension artérielle, responsable de 51% des décès dus aux AVC et de 45% des décès dus aux cardiopathies coronariennes. Cesser de fumer, réduire l’apport en sel dans l’alimentation[3], consommer des fruits et des légumes, pratiquer une activité physique régulière et éviter l’usage nocif de l’alcool permet de réduire de manière substantielle le risque cardiovasculaire. Il peut aussi être diminué en prévenant ou en traitant l’hypertension, le diabète et le cholestérol.
La cardiologie moderne se trouve aujourd’hui à un tournant majeur. Elle reconnaît l’importance du mode de vie et commence à admettre que la chirurgie cardiaque n’est pas la panacée que l’on a crue, même si la télévision française continue d’accorder une importance certaine aux avancées du cœur artificiel[4]. La récente confession sur Internet du cardiologue américain Dwight Lundell n’est pas passée inaperçue puisqu’elle a obtenu plus de 350.000 Like sur Facebook : « Nous les médecins, avec toute notre expérience et notre autorité, nous devenons souvent très présomptueux et avons du mal à reconnaître nos torts. Alors voilà, j’admets ouvertement que je me suis trompé. En tant que chirurgien cardiaque avec 25 ans d’expérience, ayant réalisé plus de 5.000 opérations à cœur ouvert, le jour est venu de corriger mes erreurs sur la base de preuves médicales et scientifiques. » Il revient sur deux décennies et demie pendant lesquelles il a prescrit des médicaments pour faire baisser le taux de cholestérol (fibrates, statines) et recommandé, à mauvais escient, un régime pauvre en graisses à ses patients. Il déclare avoir récemment réalisé son erreur et renoncé à la pratique médicale. Il a décidé de consacrer le reste de sa carrière à la prévention des maladies cardiaques. Le chirurgien affirme qu’un régime alimentaire à base de produits frais, naturels, non transformés, dans le cadre d’un mode de vie sain, avec un exercice physique modéré (promenades régulières) permet de prévenir et même de soigner les maladies cardiaques, l’hypertension, le diabète et la maladie d’Alzheimer. De nombreuses médecines alternatives militent en ce sens.
Et l’Ayurvéda ? Elle recommande avant toute chose de rééquilibrer les doshas et de respecter les routines quotidiennes et saisonnières afin de prévenir les maladies cardiaques. Rappelons qu’en termes de doshas le cœur est connecté à deux sous-doshas de Vata, Prana Vata et Vyana Vata, au sous dosha Sadhaka de Pitta et au sous dosha Avalambaka de Kapha. Prana Vata gouverne les mouvements de l’esprit et des émotions. Lorsqu’il est à l’arrêt, il donne accès à l’expérience de transcendance. En cas de déséquilibre, il engendre des palpitations au niveau du cœur, une respiration courte ainsi que des problèmes de concentration et de nervosité. Vyana Vata gouverne l’activité du cœur et la circulation. Pour sa part, Sadhaka Pitta gouverne la satisfaction du cœur en termes de sentiments. Quant à Avalambaka Kapha, il soutient la structure du cœur. Il est également associé à l’amour et à la compassion. Pour simplifier, disons que Vata gouverne les battements du cœur, Pitta les émotions qui influencent le cœur et Kapha la force du muscle cardiaque. Leur équilibre est un premier pas pour prévenir les maladies cardiovasculaires.
La routine quotidienne joue également un rôle important en matière de prévention. Elle recommande de se coucher avant 22 heures, ce qui permet de se lever tôt, de faire un massage à l’huile de sésame, de méditer, de faire de l’exercice modéré, de vaquer à ses occupations professionnelles et de méditer à nouveau en fin d’après midi avant de prendre un dîner léger. Cette routine est l’autoroute de la santé. Autre recommandation majeure : accroitre la puissance de son feu digestif pour améliorer la santé générale en augmentant la production d’Ojas, produit final de la digestion qui renforce l’immunité et la clarté de l’esprit. Au sujet du régime alimentaire, la science moderne reconnaît depuis peu que le régime végétarien est le plus adapté car il réduit de 57% les problèmes de cœur. Ce régime, riche en fruits et légumes frais, sera agrémenté d’épices adaptées à la constitution de chacun (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/la-regle-des-six-gouts-selon-layurveda/). Afin de renforcer le cœur, l’Ayurvéda recommande aussi d’écouter régulièrement la musique que l’on aime, plus particulièrement la musique du Gandharva Véda (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/la-musique-un-baume-pour-le-coeur-et-la-sante/). Une demi-heure par jour suffit. La science moderne arrive à une même conclusion, à savoir que la musique peut renforcer le cœur et améliorer la récupération de patients souffrant de maladies cardiaques.
En matière d’exercice physique, l’Ayurvéda considère qu’il doit être pratiqué quotidiennement et de façon modérée, et ce afin de protéger le cœur. Il doit impérativement respecter l’âge et l’état de santé de la personne. La durée de l’exercice doit être également adaptée à la personne : entre 15 et 30 minutes maximum. Il est en outre préférable de le pratiquer le matin avant 10 H. La respiration nasale est la clé de la modération afin de ne pas épuiser la physiologie. La science moderne met aussi en garde contre les excès d’exercice physique (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/developpez-bien-etre-extase-et-performances-pendant-lexercice-physique/). En revanche, elle reconnaît les effets positifs de l’exercice modéré sur le cœur. Une méta-analyse[5] publiée dans le British Medical Journal a comparé les effets de l’exercice physique à celui de médicaments sur la mortalité dans quatre cas précis en rapport avec la sphère cardiovasculaire : prévention secondaire des maladies coronariennes[6], réadaptation après AVC, traitement de l’insuffisance cardiaque et prévention du diabète. Cette méta-analyse a repris les résultats de 305 études réalisées avec double aveugle et portant sur un total de 339.274 sujets. Que nous apprend cette méta-analyse? Elle constate qu’aucune différence significative n’a été constatée entre l’exercice physique et les traitements médicamenteux sur la prévention secondaire des maladies cardiaques et la prévention du diabète. En revanche, en ce qui concerne l’AVC, l’exercice physique modéré s’est avéré plus efficace que le traitement médical. Seul le traitement de l’insuffisance cardiaque a montré une supériorité des diurétiques par rapport à l’exercice physique.
En cas de maladie cardiovasculaire, le mode de vie ne suffit plus. Le médecin ayurvédique prescrit alors Arjuna. Il s’agit précisément de l’écorce de l’arbre connu sous le nom d’Arjuna – Terminalia Arjuna en latin -, utilisée depuis la nuit des temps dans l’Ayurvéda afin de soutenir la santé du système cardiovasculaire. Le terme Arjuna, brillant en sanscrit, traduit la brillance de l’écorce de cet arbre qui peut atteindre jusqu’à 30 mètres de haut. Son écorce est amère et astringente et de couleur rougeâtre. Une fois par an, l’écorce mue, ce qui la rend accessible pour la récolte. De récentes recherches scientifiques confirment qu’Arjuna protège la vitalité et la santé du cœur, au point que certains cardiologues américains commencent à l’intégrer dans leur protocole de soins. Arjuna soutient le tonus musculaire du cœur et favorise une plus forte contraction du muscle cardiaque, ce qui lui permet de fonctionner de manière plus efficace[7]. Une étude a montré que la prise de 500mg d’écorce d’Arjuna favorisait un taux normal de cholestérol[8]. Une autre étude[9], dans laquelle des fumeurs ont reçu 500 mg d’extrait d’Arjuna, a confirmé une amélioration significative du fonctionnement artériel. Les artères ont été capables de se dilater et de se contracter de façon normale – tâche généralement difficile pour les artères des fumeurs. De nombreuses études attestent en outre qu’Arjuna améliore les effets de médicaments allopathiques.
Le stress est reconnu à présent comme l’un des facteurs favorisant les maladies cardiovasculaires. Le cœur reçoit tous les signaux de stress de l’organisme afin de pouvoir pomper le sang nécessaire en cas de danger. Les récepteurs du stress dans le cœur traitent les signaux et se débarrassent des déchets occasionnés dans les vaisseaux lymphatiques autour du cœur. Si le système lymphatique est congestionné et le stress continue d’augmenter, il n’y a plus assez récepteurs disponibles pour faire face au stress. Au fil du temps, l’incapacité des vaisseaux lymphatiques du cœur pour drainer les déchets du stress engendre encore plus de stress et favorise la congestion lymphatique du cœur. La lymphe autour du cœur congestionnée, la capacité du cœur à pomper s’affaiblit. La situation devient grave lorsque l’excès de stress, le drainage lymphatique congestionné, le taux élevé de cholestérol se conjuguent à des lésions artérielles. Arjuna intervient alors pour favoriser le mouvement de la lymphe du cœur. L’écorce procède ainsi à un drainage lymphatique du cœur, encouragent les contractions musculaires du cœur et la circulation artérielle. Notons au passage que les plantes et légumes de couleur rougeâtre, comme Arjuna, ont ce même effet sur la lymphe. C’est entre autre le cas de la plante Manjistha, mais aussi des framboises, des fraises, des bleuets, des betteraves ou des canneberges. Lors d’une étude rapportée en mai 1995 par l’International Journal of Cardiology, des sujets incapables d’effectuer une quelconque activité physique sans gêne ont reçu 500 mg d’Arjuna toutes les huit heures. Cent pour cent des sujets évalués ont progressé au point qu’ils ont pu exercer des activités normales sans gêne, ce qui n’a pas été le cas avec le groupe témoin. Après seulement 4 mois de ce traitement associé à une routine de vie ayurvédique, 75% d’entre eux ont été en mesure d’effectuer des activités normales avec seulement de légères limitations.
L’Ayurvéda Maharishi apporte un éclairage supplémentaire par rapport à l’Ayurvéda classique. Elle considère que le cœur n’est pas seulement une pompe qui effectue 100.000 battements par jour pour mettre en circulation quelques 8000 litres de sang. Il est aussi et surtout le siège d’Ojas (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/conseils-pour-favoriser-la-production-dojas/), de la conscience et de l’âme. L’être humain est une conscience qui crée un corps et non comme le pense la médecine moderne un corps accessoirement doté d’une conscience. L’Ayurvéda Maharishi considère que c’est à partir du transcendant[10] que la conscience crée le corps et ses milliards de cellules. Le cœur est le siège de cette formidable intelligence. Les problèmes cardiaques résultent de l’incapacité du corps à accéder à cette intelligence. C’est pourquoi le premier traitement consiste à méditer, technique qui reconnecte le corps physique avec l’intelligence pendant l’expérience de la transcendance. Cette expérience donne accès à ce potentiel d’intelligence pour traiter les maladies cardiovasculaires ainsi que l’a reconnu l’an dernier l’American Heart Association.
Le groupe de recherche de l’American Heart Association (AHA) a publié le 22 avril 2013 une déclaration scientifique au sujet du traitement de l’hypertension artérielle[11] par la méditation. Trois sous-groupes de techniques ont été constitués : les méditations avec attention focalisée, la méditation transcendantale et les méditations contemplatives (méditation Zen, Vipassana et méditation de la pleine conscience). Pour l’AHA, l’ensemble des données scientifiques montrent que la méditation transcendantale diminue l’hypertension artérielle. Les données relatives aux autres techniques ont été jugées peu tangibles. Le groupe de l’AHA a donc placé la méditation transcendantale en classe IIB. En clair : cette technique peut être considérée en pratique clinique pour baisser la tension artérielle. Toutes les autres techniques de méditation ont été placées en classe IIIC. En clair : elles ne présentent aucun bénéfice par rapport à l’hypertension artérielle.
Précisons que cela fait plusieurs années que l’AHA participe aux recherches menées avec beaucoup de rigueur sur la méditation transcendantale. Ainsi, au début des années 2000, le Dr. Vernon Barnes, physiologiste au Collège Médical de Géorgie, a mené avec l’appui de l’AHA et du National Institute of Health une étude montrant les effets de la méditation transcendantale sur un groupe de jeunes gens souffrant d’hypertension. Rapportée dans un dossier du magazine Science et Vie paru en novembre 2004[12], cette étude l’amenait déjà à conclure que « la méditation transcendantale avait sa place dans la prévention des maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité dans les pays riches ».
Bien entendu, les effets de la méditation transcendantale ne se limitent pas à l’hypertension. Le célèbre chirurgien cardiaque Memet Oz, professeur de médecine à l’Université de Columbia, très connu du grand public aux Etats-Unis pour son émission « The Dr. Oz Show »[13], s’est fait le porte parole des bienfaits de la méditation transcendantale pour réduire le stress et promouvoir la santé du cœur[14]. Conscient des effets dévastateurs de l’accumulation du stress sur la physiologie du cœur, il a présenté à plusieurs reprises des recherches montrant comment la méditation transcendantale agissait sur les trois principaux facteurs de risque des maladies cardio-vasculaires : « l’impact de la méditation transcendantale est impressionnant. Elle réduit de manière significative les AVC et les crises cardiaques ». La mortalité suite à une attaque cardiaque diminue de 37 % chez les personnes qui pratiquent la méditation transcendantale.
Dans une interview au Huffington Post début 2011, le Dr. Oz suggérait d’ajouter aux résolutions du nouvel an des américains l’apprentissage de la méditation transcendantale, puissant destructeur de stress. « Les recherches montrent que ses bienfaits sur la santé sont équivalents ou meilleurs à ceux de certains médicaments pour réduire la tension artérielle et l’hypercholestérolémie ». Les nombreuses recherches évoquées[15] ont été menées sous la houlette du Dr. Robert Schneider[16] et financées à hauteur de 20 M $ par le National Institute of Health dans le cadre d’une évaluation des approches naturelles pour traiter les maladies cardio-vasculaires. Le Dr. Robert Schneider a présenté le constat de l’AHA aux médecins et aux medias lors d’une tournée qui l’a mené dans de nombreux pays, répétant que « seule la méditation transcendantale réduisait l’hypertension, les attaques cardiaques, l’infarctus et le taux de mortalité à long terme ».
L’Ayurvéda Maharishi utilise aussi des préparations à base d’Arjuna, c’est entre autre le cas du Cardio Support[17]. Elle propose aussi d’autres traitements pour renforcer la santé du cœur. C’est le cas des traitements effectués dans le cadre des cures de Panchakarma pratiquées dans des centres spécialisés. Deux traitements ciblent directement le cœur : le Hrd Basti, sorte de bain d’huile médicalisée au niveau du cœur. Son rôle est de renforcer le muscle cardiaque et d’éliminer les émotions négatives. Citons aussi le Takradhara, filet continu sur le front d’une substance lactée qui apaise le mental, notamment le Prana Vata qui gouverne le rythme cardiaque.
Jo Cohen
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[1] Ce chiffre représente 30% de la mortalité mondiale totale. Il est extrait du Rapport sur la situation mondiale des maladies non transmissibles 2010. 2011. Genève, OMS.
[2] Accident Vasculaire Cérébral.
[3] L’Ayurvéda conseille le sel de roche, plus favorable aux maladies cardiovasculaires, ce qui n’est pas le cas du sel de mer.
[4] La société française Carmat a développé le projet de cœur artificiel total le plus avancé au monde.
[5] L’étude en question a été effectuée, en collaboration avec la London School of Economics, aux écoles de Médecine de Harvard et de Stanford.
[6] La prévention secondaire est généralement appliquée aux patients ayant déclaré une maladie cardiovasculaire afin d’éviter qu’elle n’entraîne de graves conséquences.
[7] Journal of Ethnopharmacology, February 1997
[8] Journal of Assoc. Physicians India. February 2001.
[9] Journal of Assoc. Physicians. March, April 1994.
[10] Le transcendant est l’état d’éveil au repos accessible par la technique de méditation transcendantale. C’est aussi l’état à partir duquel émergent les particules élémentaires, les atomes, les molécules et le monde physique qui nous entoure. C’est le champ unifié de la physique.
[11] American Journal of Hypertension 21 (3): 310-6, 2008. Anderson J.W., et al. Blood pressure response to Transcendental Meditation: a meta-analysis.
[12] « Psycho-médecine, quand le mental sauve le corps », rubrique : « les 7 expériences qui défient la science », p.59, Science et Vie, novembre 2004
[13] Pour ceux qui n’ont pas de mal avec l’anglais, cette vidéo donne le point de vie du Dr. Oz sur la santé du cœur : https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Ny3pPvkBdTw
[14] Journal of Human Stress 5(4): 24-27, 1979. Cooper M. J., et al. Transcendental Meditation in the management of hypercholesterolemia; Harefuah, Journal of the Israel Medical Association 95(1): 1-2, 1978. Cooper M. J. and Aygen M. M. Effect of Transcendental Meditation on serum cholesterol and blood pressure.
[15] Archives of Internal Medicine 2006; 166:1218-1224. Maura Paul-Labrador, MPH; Donna Polk, MD, MPH; James H. Dwyer, PhD†; Ivan Velasquez, MD; Sanford Nidich, PhD; Maxwell Rainforth, PhD; Robert Schneider, MD; C. Noel Bairey Merz, M. D. Effects of a Randomized Controlled Trial of Transcendental Meditation on Components of the Metabolic Syndrome in Subjects With Coronary Heart Disease.
American Journal of Cardiology 95:1060-1064, 2005. Schneider R.H., et al. Long-term effects of stress reduction on mortality in persons ≥ 55 years of age with systemic hypertension.
[16] Le Dr. Schneider est l’auteur du livre Total Heart Health et de plus d’une centaines d’articles sur ses recherches. Plus d’un millier d’articles lui ont été consacrés, y compris dans CNN, le New York Times et le magazine Times.
[17] Ce produit est disponible entre autre sur le site www.maharishi.co.uk.
Bonjour JO
Merci pour cet article très intéressant comme toujours
nous n’avons pas assez conscience que notre coeur est le siège de la conscience, de ojas, de l’âme, ce n’est pas seulement un organe
moi même je n’en ai pas toujours conscience, mais grâce à tes articles, grâce à l’ayurveda qui nous propose une routine de vie, une alimentation, des exercices, la relaxation, la méditation, tout ceci m’aide à considérer mon corps et mon esprit autrement
merci encore et de très belles fêtes de fin d’année également
amicalement
Jacqueline
merci beaucoup, votre article est très complet. OM
TRES INTERESSANT JE VEUX EN SAVOIR PLUS MERCI
A lire svp, merci : Communiqué de la famille, bis
Très bon article comme j aimerais avoir un bon praticien en ayurveda
Auriez vs une adresse en France pour voir un médecin ayrvedique ou un hôpital en Inde pour problèmes cardiaques que la médecine traditionnelle n arrive pas à stabiliser..merci