Chaque fois que l’on voit l’image d’une posture de Yoga exécutée par un professionnel, nous ne pouvons que nous extasier devant son niveau de maîtrise et l’esthétique qui s’en dégage. Cependant, aussi séduisantes soient-elles, de telles images ont aussi un effet pervers. Elles véhiculent à une majorité d’entre nous de manière implicite le message que nous n’avons ni la flexibilité ni la forme physique suffisantes pour de telles contorsions. Sur le fond, contrairement à ce que véhiculent de manière subliminale de telles images, la performance physique de ces postures n’est pas du tout le but à atteindre. Le caractère commercial de ces images éloigne en les intimidant beaucoup de ceux qui auraient besoin de pratiquer le Yoga. Vous aurez fait sans doute le parallèle avec le secteur de la mode où de jeunes mannequins à la limite de l’anorexie portent les dernières collections. Ces images de magazine ont le même pouvoir d’attraction mais aussi de répulsion. Largement retouchées, ces photos parfaites dissuadent d’emblée de jeu les millions de femmes qui n’ont pas la taille mannequin. Ceci est d’autant plus dommageable pour le Yoga que le but des postures est de développer l’unité du corps et de l’esprit grâce à une pratique quotidienne. Le Yoga est avant tout une expérience de conscience qui se développe par l’attention régulière portée sur le corps physique pendant les postures. Le mental s’apaise jusqu’à se mettre au repos, état appelé samadhi (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/la-transcendance-est-le-fondement-ultime-de-la-sante/). Le Yoga permet d’accéder à la nature illimitée de la conscience. C’est son véritable but. Le Yoga s’adresse à tous, même si le corps de la personne n’a plus la flexibilité suffisante pour exécuter une posture destinée à un magazine. Deux personnes aux structures osseuses différentes exécuteront un même asana de manière différente. Mais, au-delà des apparences, elles en tireront les mêmes bénéfices.
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L’Ayurvéda conseille de renforcer l’immunité plutôt que de vacciner !
Au pays de Pasteur, et au-delà des énormes intérêts financiers en jeu, nul ne sera surpris d’apprendre que la position de la France en matière de vaccination tient plus de l’idéologie que du pragmatisme. Alors que la plupart des pays acceptent un certain degré de liberté vaccinale, nos gouvernants n’hésitent pas à réprimer cette liberté ainsi que l’illustre le cas du Gardasil, vaccin contre le papillomavirus qui fait l’objet d’une vive polémique, y compris dans les milieux médicaux. De quoi s’agit-il? Le Professeur Henri Joyeux, célèbre cancérologue français, dénonce publiquement les recommandations du Haut Conseil de Santé publique en faveur de l’introduction massive dans les écoles de la vaccination contre les papillomavirus (HPV). L’objectif affiché par cet organisme est de lutter contre le cancer du col de l’utérus en abaissant à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons. Le Professeur affirme qu’une telle recommandation « ne peut être que le résultat du lobbying des laboratoires pharmaceutiques internationaux qui produisent ces vaccins ». Il a lancé à cet effet une pétition afin de dénoncer de telles pratiques. En France, les vaccinations sont obligatoires dès le plus jeune âge. Médecins et pédiatres le rappellent aux parents lors de chaque visite. Sanction en cas de refus ? La mise au ban de l’enfant de l’éducation scolaire !