Archives quotidiennes :

Choisir un exercice physique adapté à votre constitution ayurvédique

 

En plus d’améliorer la santé et d’aider à gérer le poids du corps, l’activité physique améliore la force physique, la circulation, la vitalité, la flexibilité, la coordination, l’énergie, la respiration, la tonicité musculaire, la digestion, l’élimination des toxines, la libido, la vigilance, la concentration, la force mentale, l’humeur, l’équilibre émotionnel, l’estime de soi, le respect du corps, la positivité et la qualité du sommeil. Il facilite aussi l’endormissent, la capacité à rester endormi, la récupération de la fatigue musculaire ainsi que la phase des rêves avec ses mouvements oculaires rapides. L’exercice physique retarde le vieillissement et augmente la sensation de légèreté dans le corps. Il aide à gérer le stress de la vie quotidienne. Au niveau du mental, les résultats peuvent être spectaculaires. La meilleure irrigation du cerveau favorise la croissance des neurones, des neurotransmetteurs liés à la cognition (dopamine, glutamate, norépinephrine, sérotonine) et des endorphines. Il crée une attitude générale positive. L’exercice modéré et régulier est un bon antidote à la dépression puisqu’il améliore en outre le niveau de sérotonine et accroît la confiance en soi. Pourquoi se priver d’autant de bienfaits ?

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Conseils de l’Ayurvéda pour éviter les maladies hivernales à vos enfants

 

Les enfants en âge d’aller à l’école attrapent en moyenne cinq à six maladies hivernales –rhumes, fièvres, otites, grippes, angines- qui les immobilisent au moins une bonne semaine chacune si l’on en croit certaines statistiques hospitalières. L’exemple le plus courant est celui du rhume, infection virale du nez et de la gorge responsable de 30 % de l’absentéisme scolaire. Il y a plus de rhumes entre l’automne et le début du printemps, période où les gens ont tendance à vivre en intérieur, ce qui facilite la propagation du virus. Les nourrissons, dont les défenses immunitaires ne sont pas encore constituées, peuvent en avoir jusqu’à huit ou dix par an. Quant aux enfants d’âge préscolaire, ils en attrapent en moyenne six ou huit par an. Le virus du rhume se transmet facilement lorsqu’une personne infectée éternue ou tousse. Le contact des mains est une autre mode de transmission. Le virus du rhume peut vivre plusieurs heures sur toutes sortes de surfaces. Il peut envahir l’organisme de la personne qui porte les mains à ses yeux, à son nez ou à sa bouche après avoir ramassé un objet, tourné une poignée de porte ou saisi le combiné téléphonique qu’une personne enrhumée a récemment manipulés. C’est du moins ce que nous apprend la science moderne.

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