La plupart des médias français affirment haut et fort que le régime sans gluten serait un simple effet de mode destiné à vendre plus cher des aliments préparés sans gluten. Les estimations montrent qu’il n’en rien. Un sondage réalisé en 2014 par l’institut BVA pour le compte de la marque Maïzena[1] estimait à 7 millions le nombre de français concernés à des degrés divers par l’alimentation sans gluten. Parmi eux, un million sont de vrais intolérants au gluten et deux millions vivent avec au moins une personne intolérante au gluten. Pour sa part, la revue 60 Millions de Consommateurs a publié début 2016 un dossier complet sur le sans gluten. Suite aux réactions suscitées par le sujet, la revue a apporté plusieurs précisions intéressantes par la voix du Professeur Bruno Bonaz, gastro-entérologue au CHU de Grenoble.
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Les toxines et la détoxification vues par l’Ayurvéda Maharishi
L’Ayurvéda Maharishi distingue principalement trois types de toxines dont il faut débarrasser la physiologie par des mécanismes appropriés de détoxification s’inscrivant dans une séquence correcte. La plus courante des toxines s’appelle ama, produit collant issu d’une digestion incomplète, ce qui arrive lorsque le feu digestif est faible ou encore lorsque l’estomac est trop plein. Si ama n’est pas éliminé rapidement, il finit par quitter le tube digestif et circuler dans d’autres parties du corps. A ce stade, ama peut aggraver les doshas et les sous-doshas, provoquant un déséquilibre dans telle ou telle zone du corps. Si la cause première n’est pas rapidement traitée, ama va continuer de s’accumuler dans une zone de la physiologie et se mélanger avec les sous-doshas, les tissus (dhatus) ou encore les déchets comme l’urine par exemple (malas). Lorsqu’il se mélange avec ces parties de la physiologie, ama se transforme en amavisha, un produit considéré par les praticiens de l’Ayurvéda Maharishi comme le second type de toxine. Le troisième type de toxine regroupe toutes substances toxiques liées à l’environnement. Elles proviennent du monde extérieur. Ce sont les pesticides et les engrais chimiques que l’on trouve dans l’alimentation moderne, auxquels s’ajoutent une longue liste de conservateurs, d’additifs ou d’aliments génétiquement modifiés. Les aliments qui ont « tourné » et regorgent de bactéries nocives tombent aussi dans cette catégorie. Parmi d’autres substances toxiques de cette troisième catégorie, appelées garavisha, on trouve l’arsenic, le plomb, l’amiante, les produits chimiques contenus dans les détergents et les produits ménagers, les poisons, les polluants de l’air et de l’eau, les produits chimiques et synthétiques contenus dans les vêtements et enfin les drogues dites récréatives.
L’Ayurvéda accorde la priorité à la prévention du cancer
Ne cherchez pas le mot « cancer » dans les textes ayurvédiques. Vous ne le trouverez pas… simplement parce qu’il n’y figure pas. Est-ce à dire que l’Ayurvéda ignore tout de ce fléau qui touche nos sociétés modernes ? Cette connaissance plusieurs fois millénaire n’a-t-elle pas son mot à dire sur le sujet ? Si l’Ayurvéda ne connaît pas le terme « cancer », en revanche, elle connaît parfaitement les symptômes de toutes ses déclinaisons sous des noms spécifiques tels que Apachi, Gulma, Granthi ou Arbuda. La leucémie par exemple y est décrite sous le terme de Pandu. L’Ayurvéda a les connaissances et l’autorité nécessaires pour donner son point de vue sur cette maladie particulièrement complexe qui touche de plus en plus de personnes. En France, pour la seule année 2012, 355.000 nouveaux cas de cancers ont été diagnostiqués, 200.000 chez des hommes et 155.000 chez des femmes. Certes, les statistiques montrent que la mortalité par cancer a diminué au cours des vingt dernières années. Le cancer reste néanmoins la première cause de mortalité chez l’homme, plus touché par le cancer du poumon, du côlon et de la prostate, et la seconde chez la femme, plus touchée par le cancer du sein, du colon et du poumon. Ce qui inquiète le plus les spécialistes, c’est la progression de la maladie. Selon une étude de l’American Cancer Society, les cas de cancer risquent de doubler dans le monde avant 2050, une épidémie qui représente un énorme fardeau pour des systèmes d’assurance-maladie déjà en déficit dans la plupart des pays occidentaux.
Perdre du poids en toute sécurité grâce à l’Ayurvéda Maharishi
La prise de poids est devenue un véritable problème dans les pays riches. Les canons de la beauté matraqués à longueur d’année par la presse tranchent avec une réalité moins glamour, celle du surpoids et de l’obésité. Médecins, nutritionnistes, psychothérapeutes et coaches en tous genres ont fait de ce problème de santé leur gagne-pain. Dans ce qui apparaît de plus en plus comme un marché de dupes, se sont multipliés médicaments coupe-faim, brûleurs de graisse et régimes plus dangereux les uns que les autres. Leur but ? Perdre un maximum de poids en un minimum de temps, fut-ce au prix de la santé des patients. La chirurgie s’est également invitée en proposant des anneaux gastriques dont les effets sur la santé sont pour le moins incertains. Ce mal des pays riches commence à toucher aussi les pays pauvres. Aux Etats-Unis, où l’on suit le problème de longue date, le National Center for Health Statistics estime que sept américains sur dix auraient besoin de perdre du poids !