La santé du cerveau vue par l’Ayurvéda Maharishi

La santé du cerveau est essentielle

La santé du cerveau est essentielle pour la physiologie, la psychologie ainsi que la spiritualité

S’il est chose à laquelle vous devez tenir autant qu’à la prunelle de vos yeux, c’est bien la santé de votre cerveau. Ce conseil de bon sens prodigué par l’Ayurvéda n’est hélas pas appliqué comme il faudrait dans nos sociétés occidentales. Non seulement elles favorisent des sports dangereux mettant en danger le bon fonctionnement du cerveau, mais elles tolèrent en outre des ondes électromagnétiques et des aliments pollués qui font le lit des maladies neurodégénératives. Plusieurs experts estiment que les chiffres de ces maladies sont largement sous-évalués, pire, qu’elles vont se multiplier dangereusement dans un futur proche : un américain sur deux serait ainsi touché par une dégénérescence du cerveau avant vingt ans. Ne nous voilons pas la face, la plupart des pays occidentaux courent un risque similaire. Quelques chiffres pour fixer les idées. Selon le site e-santé, chaque année en France près de 160 000 personnes sont victimes d’un traumatisme crânien dont près de 8 000 resteront gravement handicapés. Par ailleurs, les maladies neurodégénératives connaissent une véritable explosion que le corps médical attribue au vieillissement de la population. Le nombre de cas d’Alzheimer, estimé à 35 millions dans le monde (près d’un million en France), devrait doubler d’ici 2030 ! Alzheimer, Parkinson, …ces pathologies constituent partout une véritable épidémie et un problème de santé publique majeur. Leur coût pour la société française pourrait passer de 10 milliards d’euros en 2005 à 20 milliards d’euros en 2020. Entre les traumatismes et les maladies neurodégénératives, de très nombreuses autres maladies, des plus bénignes aux plus malignes, touchent le cerveau et impactent son fonctionnement. C’est entre autre le cas des tumeurs du cerveau, plus fréquentes avec l’âge. Elles représentent 2 % de l’ensemble des cancers, soit environ 5000 cas par an en France.

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L’Ayurvéda insiste à juste raison sur la qualité des aliments

Le "bio" fait l'objet de nombreuses critiques

Le « bio » fait l’objet à tort de nombreuses critiques!

J’ai entendu récemment sur Europe 1 le célèbre médecin nutritionniste Jean Michel Cohen affirmer avec véhémence que les aliments biologiques n’étaient pas meilleurs pour la santé que les aliments cultivés avec engrais et pesticides. Ce n’est là, hélas, que l’une des nombreuses critiques que l’on retrouve régulièrement dans les médias contre le « bio », une croyance qui crée le doute dans l’esprit du consommateur et alimente une polémique dont on devine à qui elle profite. Ainsi, on entend souvent dire que les rendements de l’agriculture biologique sont trop faibles pour nourrir la population du globe. Les faits démentent cette affirmation. L’agriculture en Inde a atteint en effet des rendements record sans recours aux OGM ni aux pesticides ! C’est le cas du riz, de la pomme de terre et du blé qui sont cultivés selon des méthodes connues sous le label d’agro-écologie. Basées sur des informations scientifiques et des connaissances locales, ces méthodes ont été mises au point par le père Henri de Laulanié[1] dans l’île de Madagascar. Résultats ? Les rendements sont de 30 à 40% supérieurs à ceux de l’agriculture conventionnelle. Et malgré toutes ces contre-vérités, le public demande de plus en plus de « bio ». En Angleterre, quatre ménages sur cinq achètent des produits biologiques. La10e édition du Baromètre Agence BIO /CSA2 estime que 64% des Français ont consommé bio en 2012, dont 8% sur une base quotidienne.

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L’Ayurvéda conseille de renforcer l’immunité plutôt que de vacciner !

 

Certains vaccin sont obligatoires en France

Certains vaccin sont obligatoires en France

Au pays de Pasteur, et au-delà des énormes intérêts financiers en jeu, nul ne sera surpris d’apprendre que la position de la France en matière de vaccination tient plus de l’idéologie que du pragmatisme. Alors que la plupart des pays acceptent un certain degré de liberté vaccinale, nos gouvernants n’hésitent pas à réprimer cette liberté ainsi que l’illustre le cas du Gardasil, vaccin contre le papillomavirus qui fait l’objet d’une vive polémique, y compris dans les milieux médicaux. De quoi s’agit-il? Le Professeur Henri Joyeux, célèbre cancérologue français, dénonce publiquement les recommandations du Haut Conseil de Santé publique en faveur de l’introduction massive dans les écoles de la vaccination contre les papillomavirus (HPV). L’objectif affiché par cet organisme est de lutter contre le cancer du col de l’utérus en abaissant à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons. Le Professeur affirme qu’une telle recommandation « ne peut être que le résultat du lobbying des laboratoires pharmaceutiques internationaux qui produisent ces vaccins ». Il a lancé à cet effet une pétition afin de dénoncer de telles pratiques. En France, les vaccinations sont obligatoires dès le plus jeune âge. Médecins et pédiatres le rappellent aux parents lors de chaque visite. Sanction en cas de refus ? La mise au ban de l’enfant de l’éducation scolaire !

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Les compatibilités alimentaires selon l’Ayurvéda

 

Respecter les compatibilités alimentaires

Respecter les compatibilités alimentaires

Nous savons à présent que l’Ayurvéda accorde une importance capitale aux mécanismes de la digestion. Le feu digestif, Agni en sanscrit, est déterminant pour digérer les aliments sans laisser les sous-produits mal métabolisés, appelés ama, envahir les tissus et faire ainsi le lit de maladies futures. Cependant, même lorsque le feu digestif est puissant, certaines combinaisons alimentaires sont vivement déconseillées car elles produisent quand même de l’ama et provoquent toutes sortes de troubles digestifs. Cette notion de compatibilités alimentaires existe dans bien des traditions culinaires, y compris en occident. Les combinaisons alimentaires compatibles selon l’Ayurvéda, virudha-ahar en sanscrit, sont une connaissance essentielle pour qui veut rester en bonne santé. Elle est fondée sur les trois facteurs qui caractérisent chaque aliment, à savoir son goût (rasa en sanscrit), son effet post-digestif (vipaka en sanscrit) et enfin la nature de son énergie, chauffante ou rafraichissante (virya en sanscrit). En fonction de la combinaison de ces trois facteurs, le feu digestif peut s’avérer insuffisant pour que la digestion soit bonne. Le système enzymatique est alors inhibé, ce qui favorise la production d’ama. Si des aliments aux caractéristiques différentes en termes de goût, d’énergie et d’effets post-digestifs sont consommés ensemble, le feu digestif sera automatiquement affaibli. Le bol alimentaire pourra alors rester de longues heures dans l’estomac, parfois jusqu’à sept ou huit heures, alors que ces mêmes aliments consommés séparément auraient été digérés beaucoup plus rapidement.

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