Archives de catégorie : Le point de vue de l’Ayurvéda

Ce que dit l’Ayurvéda au sujet des carences en vitamine D !

 

La carence en vitamine D doit être prise au sérieux

La carence en vitamine D doit être prise au sérieux

C’est un fait : nous sommes tous concernés par le manque de vitamine D. Plus de huit français sur dix Français ont moins de 30 ng/ml (nanogramme de vitamine D par millilitre de sang) alors que la « normale » est de 50 ng/ml ! Un français sur deux aurait même moins de 20 ng/ml ! En dessous de ce seuil, le manque est considéré comme sévère. Ce mal, puisqu’il faut bien l’appeler ainsi, n’est pas que français. Il touche la plupart des pays industrialisés. Ainsi, aux Etats-Unis, 87% de la population manquerait de vitamine D au plein cœur de l’hiver. Les populations de l’hémisphère nord atteignent leur taux le plus bas en vitamine D en février, soit après cinq mois de faible ensoleillement. Bien sûr, l’ensoleillement n’est pas le seul facteur en cause. L’âge influe également puisqu’il est admis que les personnes âgées synthétisent quatre fois moins de vitamine D que les jeunes. Une personne âgée sortant peu sera donc plus carencée qu’un enfant peu exposé au soleil. La science moderne reconnaît que la vitamine D influe sur l’humeur, l’immunité[1], la prolifération cellulaire, la pression artérielle, le métabolisme du calcium[2], le métabolisme du glucose, le confort de l’appareil locomoteur, le système cardiovasculaire et sans oublier la peau. Son manque occasionne les maladies suivantes : grippe, dépression, fracture, cancer[3], diabète[4], maladie de Parkinson[5], voire décès précoce. Voilà pourquoi les médecins prescrivent à tour de bras des ampoules de vitamine D contenant des doses massives (100.000 à 200.000 Unités Internationales). Leur but est de faire disparaître au plus vite les symptômes de carence. Le patient prend à deux reprises l’équivalent d’un mois de soleil en quelques minutes, situation que l’organisme a du mal à gérer, qu’il s’agisse de stocker ou d’utiliser cette vitamine D.

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Protéger son cœur et son système cardio-vasculaire grâce à l’Ayurvéda

 

Prévenir les maladies cardiovasculaires

Prévenir les maladies cardiovasculaires

Protéger son cœur n’est pas un luxe dans nos sociétés modernes. Selon l’OMS, les maladies du système cardiovasculaire représentent la première cause de mortalité dans le monde avec 17,3 millions de décès par an[1]. Elles touchent autant les hommes que les femmes. Les plus courantes sont l’infarctus et l’AVC[2]. En France, on dénombre chaque année 120 000 infarctus et 130.000 AVC. Statistique révélatrice : le maximum d’infarctus intervient le lundi matin autour de 9 heures, confirmation du lien subtil avec le stress de l’activité professionnelle. La conscience joue un rôle clé dans ces maladies qui ont pourtant l’apparence de maladies « physiques » ! Une étude publiée en 2004 dans The Lancet, conduite dans 52 pays, a identifié neuf facteurs de risques couvrant 90 % des cas de maladies cardiaques. Aujourd’hui, il est communément admis que ces facteurs sont le tabac, la surconsommation d’alcool, la mauvaise alimentation, l’obésité, le manque d’activité physique, l’hypertension artérielle, le diabète, l’hyperlipidémie (cholestérol) et le stress professionnel. 9,4 millions de décès sont attribués à l’hypertension artérielle, responsable de 51% des décès dus aux AVC et de 45% des décès dus aux cardiopathies coronariennes. Cesser de fumer, réduire l’apport en sel dans l’alimentation[3], consommer des fruits et des légumes, pratiquer une activité physique régulière et éviter l’usage nocif de l’alcool permet de réduire de manière substantielle le risque cardiovasculaire. Il peut aussi être diminué en prévenant ou en traitant l’hypertension, le diabète et le cholestérol.

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L’Ayurvéda conseille de renforcer l’immunité plutôt que de vacciner !

 

Certains vaccin sont obligatoires en France

Certains vaccin sont obligatoires en France

Au pays de Pasteur, et au-delà des énormes intérêts financiers en jeu, nul ne sera surpris d’apprendre que la position de la France en matière de vaccination tient plus de l’idéologie que du pragmatisme. Alors que la plupart des pays acceptent un certain degré de liberté vaccinale, nos gouvernants n’hésitent pas à réprimer cette liberté ainsi que l’illustre le cas du Gardasil, vaccin contre le papillomavirus qui fait l’objet d’une vive polémique, y compris dans les milieux médicaux. De quoi s’agit-il? Le Professeur Henri Joyeux, célèbre cancérologue français, dénonce publiquement les recommandations du Haut Conseil de Santé publique en faveur de l’introduction massive dans les écoles de la vaccination contre les papillomavirus (HPV). L’objectif affiché par cet organisme est de lutter contre le cancer du col de l’utérus en abaissant à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons. Le Professeur affirme qu’une telle recommandation « ne peut être que le résultat du lobbying des laboratoires pharmaceutiques internationaux qui produisent ces vaccins ». Il a lancé à cet effet une pétition afin de dénoncer de telles pratiques. En France, les vaccinations sont obligatoires dès le plus jeune âge. Médecins et pédiatres le rappellent aux parents lors de chaque visite. Sanction en cas de refus ? La mise au ban de l’enfant de l’éducation scolaire !

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L’Ayurvéda accorde la priorité à la prévention du cancer

Le Dr. Hari Sharma

Le Dr. Hari Sharma

Ne cherchez pas le mot « cancer » dans les textes ayurvédiques. Vous ne le trouverez pas… simplement parce qu’il n’y figure pas. Est-ce à dire que l’Ayurvéda ignore tout de ce fléau qui touche nos sociétés modernes ? Cette connaissance plusieurs fois millénaire n’a-t-elle pas son mot à dire sur le sujet ? Si l’Ayurvéda ne connaît pas le terme « cancer », en revanche, elle connaît parfaitement les symptômes de toutes ses déclinaisons sous des noms spécifiques tels que Apachi, Gulma, Granthi ou Arbuda. La leucémie par exemple y est décrite sous le terme de Pandu. L’Ayurvéda a les connaissances et l’autorité nécessaires pour donner son point de vue sur cette maladie particulièrement complexe qui touche de plus en plus de personnes. En France, pour la seule année 2012, 355.000 nouveaux cas de cancers ont été diagnostiqués, 200.000 chez des hommes et 155.000 chez des femmes. Certes, les statistiques montrent que la mortalité par cancer a diminué au cours des vingt dernières années. Le cancer reste néanmoins la première cause de mortalité chez l’homme, plus touché par le cancer du poumon, du côlon et de la prostate, et la seconde chez la femme, plus touchée par le cancer du sein, du colon et du poumon. Ce qui inquiète le plus les spécialistes, c’est la progression de la maladie. Selon une étude de l’American Cancer Society, les cas de cancer risquent de doubler dans le monde avant 2050, une épidémie qui représente un énorme fardeau pour des systèmes d’assurance-maladie déjà en déficit dans la plupart des pays occidentaux.

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