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Les sons védiques de l’Ayurvéda Maharishi : des effets mesurables!

Groupe de Pandits Védiques Maharishi

Groupe de Pandits Védiques Maharishi

Menacées de disparition, les connaissances et les technologies ancestrales basées sur les sons védiques (http://la-voie-de-l-ayurveda.com/les-sons-vediques-au-service-de-la-sante) ont été remises à l’honneur dans l’Ayurvéda Maharishi. Elles s’appuient sur le fait que le Véda est une connaissance universelle, accessible à tous et présente en chacun de nous. L’expression sanscrite ‘Vedoham’, « je suis le Véda », s’applique en effet à chaque être humain puisqu’au niveau le plus fondamental des lois de la nature, la physiologie n’est faite que des sons du Véda. Parmi les technologies propres à cette lignée de connaissances, le rééquilibrage de désordres par les sons védiques, approche plus connue sous le nom de Maharishi Vedic Vibration Technology (MVVT), a été littéralement sauvée de l’oubli. Pratiquée au sein de familles indiennes qui ont maintenu son usage au cours des âges, elle donne des résultats surprenants bien qu’elle ne convienne pas à toutes les déséquilibres. L’écoute de récitations védiques influence elle aussi notre cerveau et améliore notre santé comme le montrent de toutes récentes études. Rappelons aussi que la méditation transcendantale, fondement de l’Ayurvéda Maharishi, ainsi que les techniques avancées de méditation qui jalonnent le parcours des méditants, utilisent des mantras également issus du Véda (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/meditez-il-ny-a-rien-de-mieux-pour-votre-sante-physique-et-mentale/). Ainsi que l’explique le professeur Philippe Gallois, « il est un nouvel acquis scientifique indubitable : le corps humain est fait de sons, de ces sons primordiaux qui constituent les mantras du Véda. »

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Développez bien être, extase et performances pendant l’exercice physique

L'exercice physique doit être modéré

L’exercice physique doit être modéré

Dans nos sociétés occidentales, la performance marque de son sceau la plupart de nos activités. L’exercice physique n’y échappe pas si l’on en juge par la popularité croissante des sports extrêmes. Le jogging – cette bonne vieille « course à pied » – y figure en bonne position. S’il vous arrive de courir en ville ou dans les bois, vous risquez de rencontrer de nombreuses personnes qui courent en respirant bruyamment par la bouche. Peut-être cherchent-elles une quelconque performance ou préparent-elle le marathon de Paris ou de New York? Un autre constat ne vous aura pas échappé : nombre de personnes courent à toute heure de la journée, y compris le soir, tant elles sont convaincues que leur pratique est bénéfique pour leur santé, voire qu’elles vont perdre du poids si tel est leur objectif. Les dernières recherches à ce sujet montrent qu’il n’en est rien. En effet, la revue médicale Heart[1] fait état d’une recherche montrant qu’il existe un lien entre l’exercice physique intense et le risque accru de fibrillation auriculaire[2]. Les habitudes de 44.410 hommes âgés de 45 et 79 ont été analysées en rapport avec leur pratique de l’exercice physique sur une période de 12 ans. Leur historique d’exercice à 15 ans, 30 ans et 50 ans a été également pris en compte. Résultats ? Ceux qui pratiquaient de manière intense à 30 ans, c’est-à-dire plus de cinq heures par semaine, sont 19% plus susceptibles d’avoir un rythme cardiaque irrégulier à 60 ans par rapport à ceux qui faisaient moins d’une heure d’exercice physique par semaine à 30 ans. Ceux qui ont pratiqué cinq heures ou plus par semaine à 30 ans, mais ne font plus qu’une heure par semaine à l’âge de 60 ans, ont un risque de développer une fibrillation auriculaire accru de 49% ! Les personnes âgées de 60 ans ayant fait de l’exercice avec modération dans leur jeunesse sont 13% de moins susceptibles de développer une fibrillation auriculaire.

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