Au chapitre des maladies des voies respiratoires, l’asthme, la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou la fibrose pulmonaire passent pour être de véritables problèmes de santé publique. Elles touchent plusieurs millions de personnes en France. Plus inquiétant encore, l’asthme et la BPCO sont en augmentation constante. Elles représentent une cause majeure de morbidité et de mortalité. La BPCO constitue à elle seule la 6ème cause de décès dans le monde et la 3ème en Europe. La médecine moderne attribue ces maladies à la fois à des facteurs personnels et à des facteurs environnementaux. Ainsi, les infections, l’exposition aux particules et aux allergènes, les polluants de l’atmosphère et le tabac joueraient un rôle clé dans leur genèse. Plus rares, les maladies vasculaires pulmonaires, telles que l’hypertension artérielle pulmonaire, sont rapidement mortelles. A l’autre bout du spectre en termes de gravité, la toux hivernale, sèche ou grasse, est sans doute la plus courante de ces maladies. La médecine moderne la traite à coups de comprimés et de sirops antitussifs dont l’efficacité est loin d’être prouvée. Une récente analyse du magazine ‘60 Millions de Consommateurs’ a montré qu’ils étaient au mieux inutiles, et pour certains, dangereux. Ce constat est d’autant plus alarmant que la plupart de ces sirops et pastilles sont disponibles sans ordonnance dans n’importe quelle pharmacie. Parmi les molécules utilisées dans ces sirops, la dextrométhorphane que l’on trouve dans les sirops contre la toux sèche est jugée par ‘60 Millions de Consommateurs’ comme moyennement efficace avec de nombreux effets secondaires tels que somnolence, nausées et constipation. Contre la toux grasse, aucun sirop n’est à conseiller selon le magazine. Il met carrément en garde contre les allergènes présents dans les antitussifs (propylparaben, colorants, alcool). Pour la toux grasse, le magazine rappelle qu’il ne faut pas chercher à la combattre car elle permet d’évacuer le mucus et « participe à la guérison ».
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La question des crudités selon l’Ayurvéda
Dans le sillage des pays anglo-saxons, la mode du « cru » arrive sur nos rivages, souvent portée par de vedettes de renom international. Par cru entendez crudivorisme, régime alimentaire consistant à ne manger que des aliments crus. De nombreux magazines évoquent le sujet dans leurs colonnes, au moins parce que ce régime favorise une rapide perte de poids. Les articles sont souvent agrémentés de témoignages rapportant des améliorations spectaculaires chez des personnes souffrant de maladies chroniques. De telles améliorations sont-elles le résultat du régime crudivore ou plus probablement de l’abandon d’un régime classique pauvre en fruits et légumes ? Les nutritionnistes s’interrogent encore.
Ce que dit l’Ayurvéda Maharishi au sujet du cannabis
Substance récréative pour les uns, drogue thérapeutique pour les autres, le cannabis[1] suscite un énorme engouement dans nos sociétés où, en à peine quelques années, il a pris une place prépondérante alors que sa consommation est toujours illégale dans la plupart des pays occidentaux. Légaliser sa consommation comme celle du tabac ou de l’alcool ? Autoriser sous contrôle médical son usage thérapeutique dans les hôpitaux? Quels sont les effets à court et à long terme sur le consommateur occasionnel ? Qu’en est-il alors du consommateur régulier ? Des jeunes ? Alors que la classe politique reste largement divisée sur toutes ces questions, beaucoup de parents s’interrogent sur la position à adopter car il est question de la santé de leurs enfants. Bien triste record, les Français seraient à l’âge de 16 ans les premiers consommateurs de cannabis en Europe. Les jeunes sont confrontés au cannabis alors qu’ils fréquentent encore le collège ou le lycée. Le phénomène a pris de l’ampleur. Aujourd’hui, il représente 80% de la consommation de l’ensemble des drogues. On estime entre quatre et cinq millions le nombre de consommateurs dans l’hexagone. Plus d’un million seraient de consommateurs réguliers. Les jeunes adultes, de 15 et 34 ans, sont particulièrement concernés.
L’Ayurvéda conseille de renforcer l’immunité plutôt que de vacciner !
Au pays de Pasteur, et au-delà des énormes intérêts financiers en jeu, nul ne sera surpris d’apprendre que la position de la France en matière de vaccination tient plus de l’idéologie que du pragmatisme. Alors que la plupart des pays acceptent un certain degré de liberté vaccinale, nos gouvernants n’hésitent pas à réprimer cette liberté ainsi que l’illustre le cas du Gardasil, vaccin contre le papillomavirus qui fait l’objet d’une vive polémique, y compris dans les milieux médicaux. De quoi s’agit-il? Le Professeur Henri Joyeux, célèbre cancérologue français, dénonce publiquement les recommandations du Haut Conseil de Santé publique en faveur de l’introduction massive dans les écoles de la vaccination contre les papillomavirus (HPV). L’objectif affiché par cet organisme est de lutter contre le cancer du col de l’utérus en abaissant à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons. Le Professeur affirme qu’une telle recommandation « ne peut être que le résultat du lobbying des laboratoires pharmaceutiques internationaux qui produisent ces vaccins ». Il a lancé à cet effet une pétition afin de dénoncer de telles pratiques. En France, les vaccinations sont obligatoires dès le plus jeune âge. Médecins et pédiatres le rappellent aux parents lors de chaque visite. Sanction en cas de refus ? La mise au ban de l’enfant de l’éducation scolaire !