Le plus beau cadeau que vous puissiez faire à vos enfants, c’est de les initier à l’Ayurvéda. Cette connaissance les accompagnera tout au long de leur vie et leur apportera plus de santé, de joie et de plénitude. Dans les familles indiennes qui pratiquent l’Ayurvéda, les enfants sont élevés et initiés très tôt dans cette tradition. Les parents connaissent vite la constitution de naissance de leur enfant, prakriti en sanscrit, ce qui leur permet de donner des conseils avisés selon que l’enfant est de constitution Vata, Pitta-Vata ou Kapha. Connaitre la prakriti d’un enfant permet aux parents de mieux comprendre ses réactions et de l’aider à exceller dans ce pourquoi il est doué. C’est le cas par exemple au moment du choix d’une activité sportive. Plus d’un enfant sur deux connaît ses premiers échecs à l’école, parfois jusqu’à l’humiliation, à cause d’une activité sportive inappropriée. Un enfant de constitution Kapha ne sera pas à sa place dans les postes avant d’une équipe de football car ils nécessitent rapidité et combativité. Il n’excellera pas non plus dans les sports de vitesse. Signe révélateur, les enfants qui veulent être dispensés d’EPS[1] pour de telles raisons sont légion. L’Ayurvéda permet de remédier à cela. Son but ultime est de faire de la prévention personnalisée en termes de santé. Initier un enfant à cette connaissance est donc un inestimable cadeau.
Mais, comment transmettre une telle connaissance à votre enfant? Simplement, par l’exemple. L’enfant répète les attitudes de ses parents comme si ses structures neuronales prenaient une image exacte de ce que font ses parents. Ainsi, s’ils ont tendance à se plaindre, leur corps exprimera inconsciemment cette attitude que l’enfant répliquera malgré lui. Si les parents voient toujours des opportunités derrière tout obstacle, l’enfant fera de même. Ses structures neuronales répliqueront exactement les schémas éducatifs parentaux. Ceux-ci ne pourront être modifiés qu’avec la pratique d’une technique de méditation ou des techniques issues du Véda et de l’Ayurvéda. Cette influence parentale peut remonter aussi loin qu’au moment de la conception. Ainsi, si la maman a médité régulièrement pendant sa grossesse, cette pratique habitue le futur bébé à alterner calme intérieur et activité. C’est en s’appuyant sur de tels mécanismes que l’on peut donner de bonnes habitudes à l’enfant, même s’il n’a pas encore la maitrise du langage. C’est ainsi qu’en Inde les enfants apprennent tôt à respecter les parents, à dire du bien des autres, à partager ou encore à pardonner. La connaissance intellectuelle de l’Ayurvéda leur est transmise plus tard, au fur et à mesure de leur développement.
La première étape pour les parents sera de déterminer la constitution de leur enfant. S’il est en âge, il peut le faire au travers du questionnaire qui est le même que pour un adulte (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/decouvrez-votre-constitution-ayurvedique/). S’il est encore trop petit, les parents, et notamment la maman, peuvent détecter les traits saillants en rapport avec sa constitution. Un enfant Vata aura un poids inférieur à la normale pour son âge et donnera l’impression d’une certaine légèreté. Il aura du mal à rester focalisé et sera parfois agité. L’irrégularité sera son lot. Il aura facilement froid et aura du mal à s’endormir. Un enfant Pitta donnera l’impression d’être bien proportionné. Il aura tendance à avoir des rougeurs sur la peau et parfois de la diarrhée. Il digèrera plus rapidement et sera impatient en cas de faim. Il aura facilement chaud et se montrera parfois irritable, voire de mauvaise humeur. Il n’aura aucun mal à rester focalisé. Rapidement, il cherchera à se mesurer aux autres. Á tendance potelée, l’enfant Kapha aura une peau plutôt grasse. Sa digestion sera lente. Il attrapera plus facilement les maladies de la sphère ORL. Par moments il se montrera apathique et possessif. Il recherchera le contact physique et aura tendance à trop dormir. « C’est tout ? » me direz-vous ! Cela peut sembler succinct, en effet, mais, je vous rassure, les médecins ayurvédiques reconnaissent avoir du mal à lire le pouls d’un enfant avec plus de précision. Vous avez donc là suffisamment de traits pour savoir quelle direction adopter avec votre enfant.
Deux points sont essentiels pour un développement harmonieux de tout enfant : l’activité physique et la musique. Ils doivent être intégrés le plus rapidement possible dans l’agenda de l’enfant. L’activité physique[2] doit être régulière et modérée, axée sur le plaisir et non sur le résultat, ce qui est facilité par l’apprentissage de la respiration nasale que les petits apprennent vite. L’activité doit être adaptée à la constitution de l’enfant (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/choisir-un-exercice-physique-adapte-a-votre-constitution/). Outre de lui redonner confiance, l’activité physique favorisera le développement de son cerveau en termes de croissance neuronale et de taille. Pareil en ce qui concerne les fonctions cognitives majeures comme la mémoire. Elles l’aideront grandement dans sa scolarité. Cerise sur le gâteau, la respiration nasale augmentera l’amplitude des ondes alpha pendant l’exercice, ce qui aidera l’enfant à agir à partir d’un état de relaxation. Si l’enfant est agité, quelques postures de Yoga[3] l’aideront à retrouver le calme. La musique sera aussi une aide précieuse pour un meilleur fonctionnement du cerveau de l’enfant. Plusieurs études ont noté une relation entre la musique et la réussite scolaire[4]. Une solide formation en musique semble même être la clé du succès dans d’autres domaines. Beaucoup de bons élèves expliquent que la musique ouvre les voies de la pensée créatrice et favorise l’esprit de collaboration, la concentration et la capacité d’écoute. Une récente étude publiée dans la revue Brain and Cognition montre que la musique aide l’enfant à utiliser davantage les hémisphères droit et gauche du cerveau par rapport à la moyenne de la population. L’activité du cortex préfrontal est en outre plus marquée, signe d’un QI plus élevé. Autant de bénéfices sont un vrai passeport pour l’avenir de l’enfant. Ne tardez donc pas à l’inscrire au plus vite dans un cours adapté à son âge et à ses goûts (chant, instrument, etc.).
Selon l’Ayurveda, la santé de l’enfant nécessite un environnement sain qui le nourrisse physiologiquement et psychologiquement. Une maison sans stress sera donc un facteur essentiel à la protection de son système nerveux. L’enfant doit se sentir en sécurité. C’est ainsi que la prévention pourra donner les meilleurs résultats face aux maladies de l’enfance, voire aux problèmes plus graves qui touchent désormais les jeunes comme la prise de poids, l’asthme, l’allergie, le mal au ventre ou le déficit d’attention. Bien sûr, connaître la constitution de l’enfant aide à mieux cibler les soins lorsqu’il tombe malade. Chaque enfant doit être soigné différemment, car chaque constitution va exprimer à sa manière un rhume ou une grippe. La médecine occidentale estime que renforcer l’immunité de l’enfant – alors qu’elle n’est pas complètement développée – passe exclusivement par les vaccins et les antibiotiques. Résultat : en plus des antibiotiques, elle prescrit antihistaminiques et décongestionnants qui soulagent temporairement les symptômes sans se préoccuper des déséquilibres sous-jacents à l’origine des infections ou des congestions.
Les effets secondaires d’une telle approche sont connus : les antibiotiques affaiblissent l’immunité en détruisant la flore intestinale. Les antihistaminiques détruisent également l’immunité et perturbent la digestion. Pire, les rhumes, les toux ou les problèmes de sinus sont entretenus par de tels traitements. L’Ayurvéda considère l’immunité comme le résultat de l’équilibre des doshas, d’une digestion et d’un métabolisme puissants ainsi que de tissus sains. L’immunité vient donc « de l’intérieur » : elle est renforcée si l’enfant mange une alimentation saine et équilibrée, s’il a un feu digestif puissant et s’il suit une routine quotidienne en accord avec les cycles de la nature. Le point de départ de la routine est le moment du sommeil. Pas de surprise de ce côté là : l’Ayurvéda recommande le coucher tôt pour les enfants : avant 20 H pour les tout petits et progressivement avant 22 H quand ils sont plus grands. Ils le feront sans problème si tout le monde à la maison se couche tôt. S’ils ont quand même du mal à s’endormir, c’est souvent par manque d’activité physique et par excès de Vata. La solution ? En plus de l’exercice qui doit être régulier, combattre la sécheresse en s’assurant que l’enfant boit suffisamment d’eau au réveil et dans la journée (chaude ou tempérée, jamais glacée) et que l’atmosphère de sa chambre est chaude et humidifiée. Un filet d’huile d’olive sur le repas chaud du soir et un massage hebdomadaire à l’huile de sésame pendant la saison froide feront des miracles en combattant la sécheresse physiologique.
Vous vous demandez certainement pourquoi les enfants sont plus sensibles aux maladies infantiles que les adultes? La réponse est simple. L’enfance est une période de la vie gouvernée par le dosha Kapha, appelée Kapha Kala en sanscrit. Durant cette période de Kapha Kala, qui va de la naissance jusqu’au début de l’âge adulte, le dosha Kapha est prédominant car l’enfant doit renforcer en permanence la structure physique de son corps : ossature, muscles, organes, cerveau, etc. Autres signes de cette influence Kapha : le jeune enfant dort plus longtemps et il met un certain temps à pleurer après être tombé. Conséquence, l’enfant sera plus sensible à tout déséquilibre de Kapha, synonyme de digestion plus lente et donc de plus d’ama. Qui dit plus d’ama, dit plus de rhumes et d’autres maladies respiratoires de la sphère ORL comme la varicelle, la rougeole ou les oreillons. Conclusion : on ne soulignera jamais assez l’importance accordée par l’Ayurvéda à la digestion, y compris chez l’enfant ! L’idéal alimentaire sera donc un régime d’aliments « bio » pacifiant Kapha. En clair, moins de…sucreries, pâtisseries, nourritures glacées, boissons gazeuses, conserves, surgelés, fromages, yaourts, crèmes ou bananes. Ces aliments lourds surchargent le système digestif et favorisent la production d’ama (impuretés). En marge de l’alimentation, il est conseillé d’éviter que l’enfant ne se lève tard le matin, ce qui déséquilibre aussi le dosha Kapha.
La digestion étant essentielle à la santé de l’enfant, regardons d’un peu plus près comment organiser ses repas en période scolaire. S’il a faim au réveil, un porridge chaud à base de flocons d’avoine ou de riz avec quelques raisins secs et deux amandes conviendra aux Vata et Pitta. S’il est Kapha et a faim au réveil, un porridge à base de flocons d’orge avec peu de raisins secs et deux amendes conviendra. Il arrive parfois qu’un enfant n’ait pas faim au réveil. Respectez ce fait. L’enfant ne sentira la faim qu’après 10 H, c’est-à-dire lorsque commencera le cycle Pitta de la journée. Or, à cette heure là, il est censé être à l’école. Il devra donc attendre au mois deux heures avant de pouvoir déjeuner. Pas de panique : mettez dans son cartable une pomme ou un biscuit bio qui l’aideront à tenir jusqu’au repas de midi. Souvenez-vous aussi que des fruits mûrs, doux et juteux sont une excellente collation pour les enfants (pommes, poires, raisins et grenades sont excellents à la fois pour Pitta et Kapha). Le déjeuner doit être pris entre 10H et 14H, la plage du cycle Pitta. En dehors de ces heures, le feu digestif est plus faible, ce qui produit de l’ama. Les écoles servent donc les repas aux bonnes heures. Mais, que mange votre enfant à la cantine ? Un repas d’aliments transformés industriellement, pris trop rapidement dans un environnement bruyant n’est pas idéal pour la digestion. Heureusement, de plus en plus de cantines se mettent aux aliments frais et au « bio ». Dès le retour de l’école, l’enfant voudra un goûter. Pensez au miel, toujours bon pour les enfants après deux ans. C’est « la sucette Kapha idéale » selon les médecins ayurvédiques. Il peut être ajouté à un jus de fruit frais avec une légère pincée de gingembre. Le dîner en famille sera plus facile à gérer puisque les parents auront la maîtrise de ce qu’ils préparent. Pour renforcer le feu digestif, habituez progressivement l’enfant au gingembre frais (sinon confit). Ne le forcez pas à finir son assiette. En cas de problème digestif persistant, n’hésitez pas à consulter un professionnel.
Le stress est plus courant qu’on ne le pense chez l’enfant. Une maman sent très vite si son enfant est joyeux ou stressé. Rendez-vous dans l’infirmerie d’une école et vous serez surpris du nombre d’enfants, même très jeunes, qui se plaignent d’avoir « mal au ventre », un signe à prendre au sérieux car il peut être dû à une intoxication alimentaire ou un problème digestif, mais plus souvent au stress. Le climat actuel de violence qui touche bien des écoles où racket et harcèlement se généralisent n’y est pas étranger. Pour aider votre enfant à prendre le recul nécessaire, vous pouvez avoir recours au Yoga et à la méditation, mais aussi à certaines plantes de l’Ayurvéda. Dans de nombreuses écoles françaises commencent à fleurir des séances de Yoga pour enfants[5]. La méditation n’y a pas encore sa place mais rien ne vous empêche de faire appel à un professionnel qualifié pour enseigner à votre enfant une technique de méditation[6]. C’est un cadeau inestimable que la tradition védique qualifie de « seconde naissance ». En principe, les enfants peuvent apprendre une technique adaptée à leur stade de développement dès l’âge de quatre ans. Par ailleurs, un ou deux massages à l’huile de sésame par semaine l’aideront à apaiser son système nerveux. Il est conseillé en outre de mettre une ou deux gouttes d’huile de sésame dans les oreilles de l’enfant[7] une fois par semaine au moment du coucher (boucher les oreilles avec un peu de coton). Les plantes peuvent aussi aider l’enfant. L’Ashwagandha est la plante adaptogène de l’Ayurveda, idéale en cas de stress et pour les constitutions Vata. Cette racine douce répare le système nerveux, fournit de l’énergie pendant la journée et un sommeil réparateur la nuit. Brahmi est la plante qui « refroidit le cerveau » des enfants trop Pitta. Elle les aide à se concentrer et favorise leur sommeil. Enfin, Bacopa est la plante qui dynamise la mémoire. Elle est particulièrement indiquée pour l’enfant Kapha. Elle équilibre l’énergie, améliore l’apprentissage et favorise une humeur stable. Comment administrer de telles plantes? Si elles ne sont pas prescrites par un professionnel, le plus simple est de mettre une petite pincée en poudre de la plante adaptée à la situation ou à la constitution de votre enfant dans une sauce. Elle passera largement inaperçue.
Point capital, l’Ayurvéda peut s’avérer une aide particulièrement efficace dans la scolarité de votre enfant. L’école transmet le savoir uniquement de manière auditive, méthode adaptée à l’enfant Vata, alors que l’enfant Pitta apprend mieux visuellement et l’enfant Kapha par contact, de manière kinesthésique. L’enfant Vata sera favorisé sur l’instant mais aura tout oublié aussitôt sorti de classe. Le Kapha aura du mal à suivre mais, une fois qu’il aura appris, il n’oubliera plus la leçon. L’enfant Pitta sera meilleur en mathématiques, notamment en géométrie. En attendant que l’Education Nationale personnalise la pédagogie de ses enseignants en intégrant ces paramètres, les parents peuvent aider leur enfant Vata à se concentrer, le Pitta à visualiser tous les sujets et le Kapha à mémoriser. L’Ayurvéda définit trois fonctions de la mémoire : Dhi, la puissance de l’acquisition, Dhriti, la puissance de la rétention et Smriti, la capacité à se rappeler. Lorsque ces trois fonctions ne sont pas en équilibre, il en résulte des problèmes d’apprentissage pouvant conduire à l’échec scolaire. Si les canaux de communication entre ces fonctions sont obstrués par des impuretés (ama), aux problèmes d’apprentissage viendront s’ajouter des problèmes de comportement. C’est le cas du déficit de l’attention qui accompagne l’hyperactivité et touche des millions d’enfants (en moyenne un sur cinq). Ce syndrome résulte en premier lieu d’une alimentation à base de produits industriels truffés d’additifs chimiques qui perturbent le rythme entre Dhi, Dhriti et Smriti. Les enfants y sont particulièrement sensibles. Le manque de sommeil intervient en second lieu, notamment si l’enfant ne se couche pas tôt, s’il regarde trop la télévision ou les jeux vidéo. Conclusion : toute carence nutritionnelle entraînant une diminution des fonctions mentales, se coucher tôt et manger des aliments frais sont indispensables.
Quel est lien existe-il entre ces déséquilibres et ceux des doshas ? L’Ayurveda décrit trois types de déséquilibres de l’esprit associés aux sous-doshas. Ainsi, Prana Vata régit le cerveau, la perception sensorielle et l’esprit. Sadhaka Pitta régit les émotions et leur effet sur les fonctions du cœur. Tarpaka Kapha régit les fluides de la colonne vertébrale, les cavités des sinus et les organes sensoriels. Si la capacité d’apprentissage est diminuée, l’hyperactivité provient d’un déséquilibre de Prana Vata. Si Sadhaka Pitta est déséquilibré, l’apprentissage est perturbé à cause de problèmes émotionnels (excès de colère, frustration). Un déséquilibre de Tarpaka Kapha favorise les problèmes d’apprentissage liés à la lourdeur du fonctionnement mental et sensoriel. Comment remédier à ces déséquilibres ? En utilisant des aliments biologiques frais et en préparant les repas selon des méthodes de cuisson qui ne détruisent pas l’intelligence des aliments (voir à ce sujet http://la-voie-de-l-ayurveda.com/et-si-nous-faisions-un-petit-tour-dans-votre-cuisine/). Certains mélanges d’épices peuvent être utilisés régulièrement pour améliorer la digestion et l’assimilation des aliments, ainsi que des tisanes Vata, Pitta ou Kapha adaptées aux besoins de l’enfant. En plus des plantes de base évoquées plus haut, l’Ayurvéda Maharishi propose un certain nombre de préparations spécifiques[8] adaptées à ces problèmes : Study Support tablets[9] (ou MA1882) aide à animer la capacité à enregistrer, retenir et utiliser des savoirs et Study Power Syrup (ou MA3674) soutient l’activité mentale des écoliers de tous âges.
Jo Cohen
– Si vous avez aimé cet article, merci de le recommander à vos amis en cliquant sur le logo de votre réseau social préféré (Facebook, Linkedin, Twitter, Google +).
– Vous pouvez aussi recommander l’ensemble du site à vos proches sur la page La Voie de l’Ayurvéda de Facebook afin de les faire bénéficier de cette précieuse connaissance. Je vous en remercie par avance.
– Vous pouvez laisser un commentaire.
– En vous inscrivant sur la liste La Voie de l’Ayurvéda, vous serez averti par email chaque fois qu’un nouvel article sera publié. En outre, vous recevrez en cadeau un livret de 40 pages expliquant les différentes étapes de la « Minicure Ayurvédique à domicile ».
[1] Education physique et sportive.
[2] L’éducation en France ne donne pas suffisamment d’importance à l’activité physique alors qu’en Allemagne par exemple elle est pratiquée quotidiennement.
[3] Plusieurs livres de Yoga proposent des postures adaptées aux enfants.
[4] Durant les premières années de leur vie, les enfants ont besoin d’avoir beaucoup plus de possibilités d’interpréter joyeusement des chansons que celles qui leur sont actuellement proposées. C’est la conclusion d’une étude impliquant 500 jardins d’enfants réalisée par le Dr. Thomas Blank et le Dr. Karl Adamek (Université de Münster, Allemagne) avec le Département de Santé publique de Münster. Dans cette étude, 88% des enfants qui chantaient fréquemment de cette façon étaient, selon les conclusions médicales, prêts pour une scolarité normale, par rapport à seulement 44% pour les enfants qui chantaient moins souvent.
[5] On en compte près d’un millier.
[6] Plus de 500.000 enfants d’écoles dans le monde ont appris la méditation transcendantale grâce a la Fondation du cinéaste David Lynch. Des initiatives similaires visent a introduire la méditation de la pleine conscience dans les écoles.
[7] Cette technique renforce l’immunité et l’audition, un problème qui menace particulièrement les jeunes d’aujourd’hui.
[8] Ces préparations sont disponibles via l’Angleterre sur le site www.maharishi.co.uk.
[9] Cette préparation est adaptée aux enfants de 4 à 15 ans.
Bonjour JO
Merci pour cet article concernant les enfants.
Si des parents lisent ce genre d’articles, et s’intéressent donc à l’ayurveda, ils ne peuvent qu’enseigner de bons principes de base pour leurs enfants, afin qu’ils grandissent le mieux possible.
C’est là qu’on voit toute la différence entre l’inde et nos pays occidentaux, en inde dès la petite enfance, on les éduque avec l’ayurveda en ligne de conduite, je trouve cela vraiment bien, tandis que chez nous ce n’est pas cela, peut être que cela a évolué dans certaines familles puisque on revient à ces médecines ancestrales. Mais il reste encore du chemin à faire;
Nous n’avons pas d’enfants, mais si on en avait eu j’aurais aimé avoir découvert l’ayurveda pour leur enseigner.
bon dimanche
amicalement
Jacqueline
Bonjour Jacqueline
Une petite précision : toutes les familles en Inde ne respectent pas les principes de l’Ayurvéda. La « civilisation moderne » fait aussi des ravages là bas. Mais heureusement, certaines familles respectent les préceptes de l’Ayurvéda. C’est à celles la que je fais allusion.
Mes amitiés
Jo
Merci pour cet article détaillé et particulièrement intéressant.
Un grand merci pour cet article instructif. Mais comme la plupart des gens appliquer l’ayurvéda sur nos enfants sans en connaître le bon fonctionnement n’est pas toujours simple.
Connaissez-vous une médecin ayurvédique dans le nord de la france (59) près de lille. Ma fille a de gros problème d’orl, pas d’allergie mais des toux qui serait dû a des accidités, pourtant je lui donne une alimentation saine et bio.
Merci d’avance
Bonjour Gambino
Adoptez les principes faciles comme le coucher tôt, les massages, etc.
Pour vous accompagner, un professionnel sera bien utile. Regardez sur le site « Ayurvéda en France » des professionnels près de chez vous.
Bon courage
Jo
Merci pour ses conseils, je fais déjà les massages a l’huile de sésame et couché tot. Malheureusement il n’y a aucun praticien dans mon département 59 d’après le site ayurveda de france. Je vais devoir me rabattre dans le département voisin.
Merci encore
E gambino
Bonjour,
Ma fille a une grande tendance pitta. J’aimerais lui mettre un petite pincée de la poudre brahmi de temps en temps, cependant en cherchant sur internet, il semble que brahmi et bacopa soient la même plante. Pouvez-vous m’en dire plus s’il vous plaît ? Laquelle choisir ?
D’avance merci
Cordialement
Bonjour Adeline
Brahmi et Bacopa Monieri soont e,n effet la même plante.
Elle est donnée de préférence l’estomac vide avec un peu d’eau chaude ou du lait.
Soyez prudent si votre fille est encore une enfant, consultez un spécialiste auparavant, ce serait plus prudent.
Cordialement
Jo
Ping : L’ayurveda, une autre médecine . ॐ | L'actualité de Lunesoleil
Bonjour Jo,
Si j’ai un enfant qui a besoin d’ashwagandha parce qu’il grandit vite et que ça créé des douleurs nocturnes et parce que ça le fatigue anormalement : à quelle dose je peux lui donner ?
– en général
– en particulier pour un petit de 3 ans qui fait 15 kg
Merci pour ta réponse
Très instructif, j’aime beaucoup layurveda et je me forme actuellement dans ce domaine. je serais ravis de recevoir vos articles par e-mail.