Archives mensuelles : mars 2014

Il n’y a qu’un pas du rire à la félicité

 

Le rire est une réaction spontanée

Le rire est une réaction spontanée

Les effets positifs du rire sur la santé font régulièrement l’objet d’articles dans la presse. Regarder des films comiques ou rire dans le cadre de sessions qualifiées de « Yoga du rire », voire de « méditation par le rire »[1], sont des pratiques présentées comme des « médicaments » à la portée de tous. Vrai ou faux ? Tout dépend du point de vue. Un point cependant sur lequel tout le monde s’accorde : nous rions de moins en moins ! En cause ? Les soucis, le rythme effréné de vie, le stress, etc. Nous rions à peine une minute par jour contre plus de vingt en 1939. En nombre d’éclats de rire, les scientifiques en dénombrent dix à quinze par jour alors que sans se forcer, un enfant peut rire jusqu’à 400 fois par jour ! Comme l’affirment les spécialistes du sujet, « le rire est à prendre très au sérieux ». Le docteur français Henri Rubinstein, auteur de nombreux ouvrages sur le sujet, assimile le rire à un « jogging stationnaire ». Le rire engendre des réactions en chaîne bénéfiques à l’organisme. Lorsqu’il est naturel, comme lorsque nous sommes pris d’une crise de fou rire par exemple, il se propage comme une onde de choc dans tout l’organisme, avec des effets rappelant à la fois ceux du massage et de la respiration saccadée Kapalabhati du Pranayama[2].

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Prêts pour le grand nettoyage de printemps ?

 

Le nettoyage de printemps est important

Le nettoyage de printemps est important

Comme nombre de traditions de santé de par le monde, l’Ayurvéda considère le printemps comme la meilleure saison pour un nettoyage de la physiologie. La raison en est fort simple : c’est la saison Kapha. Tout nettoyage doit intervenir en période Kapha, le matin entre 6 heures et 10 heures sur une base quotidienne et au printemps sur une base saisonnière. Ainsi, après un long hiver d’une nourriture riche en aliments lourds destinés à pacifier Vata, le Kapha aura augmenté dans la physiologie alors que commence la saison du printemps, froide et humide. Si rien n’est fait lors de ce changement de saison, le Kapha risque de continuer à augmenter. Or, la graisse déjà accumulée à la fin de l’hiver, souvent au niveau du ventre, congestionne la lymphe, drainant la digestion et enlisant les villosités de l’intestin, pourtant essentiels pour l’absorption des nutriments ainsi que pour la désintoxication. Du point de vue de l’Ayurvéda, le moment est donc venu de perdre ce surpoids occasionné par l’hiver…ainsi que nous le rappellent aussi les ‘Unes’ de tous les magazines de mode.

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Arrêtez de grignoter grâce à l’Ayurvéda

Le grignotage est un problème universel

Le grignotage est un problème universel

Le grignotage a commencé à préoccuper la médecine française dans les années 90. On ne compte plus les recherches scientifiques qui mentionnent ce terme de la vie quotidienne. Du grignotage à l’obésité[1] il n’y a qu’un pas…rapidement franchi. Attention, car le grignotage n’est que le sommet visible de l’iceberg. Le terme est souvent associé à ‘mal bouffe’, ‘fast food’ et obésité, des maux dont le royaume du bien-manger se croyait exempt. L’ampleur prise par ces maux surprend professionnels de santé et nutritionnistes. Le cocktail grignotage, télé et fast food fait des dégâts chez les adultes et surtout chez les enfants. La moitié des enfants obèses de plus de six ans le sont encore à l’âge adulte. Près de 80% des adolescents obèses le resteront une fois devenus adultes. En France, on dénombre plus de seize millions d’adultes en surpoids et cinq millions d’obèses[2]. C’est un problème de santé publique car l’obésité accompagne souvent l’hypertension, les maladies cardiovasculaires et le diabète. 

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Le point de vue de l’Ayurvéda sur les OGM

Les OGM inquiètent

Les OGM inquiètent

« Les OGM inquiètent de plus en plus les Français » indique un sondage Ifop réalisé pour le magazine de Ouest France. Il montre que 79% des personnes interrogées s’inquiètent de la présence éventuelle d’OGM dans leur alimentation. Ce taux est nettement plus élevé que le plus élevé précédemment observé. Il n’était que de 73% en juillet 2000. Précisons que ce sondage a été réalisé après la publication d’une étude française montrant que des rats nourris au maïs OGM développaient davantage de tumeurs. A l’heure où le lobby OGM continue de forcer les instances européennes à lever les barrières du marché européen – ce qui est déjà fait aux Etats-Unis et dans plusieurs pays d’Amérique Latine dont le Brésil – notons que plusieurs fermiers américains du Midwest font machine arrière ainsi que le rapporte le magazine Modern Farmer. Principale raison ? « Nous obtenons avec des graines non-OGM des rendements similaires, voire meilleurs, et nous économisons de l’argent » explique le consultant agricole Aaron Bloom.

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